How can we explain to European farmers that they are to be ever more restricted in their activities and that they should employ animal-friendly production methods, while at the same time our borders remain open to products from farmers who do not need to use these methods?
Comment pouvons-nous expliquer aux agriculteurs européens le fait qu'ils sont de plus en plus limités dans leurs activités, qu'ils doivent s'en tenir à des méthodes de production respectueuses du bien-être des animaux tandis que, pendant ce temps, les frontières restent ouvertes à des produits livrés par des agriculteurs qui ne sont pas obligés de faire de même ?