In its judgment today, the Court replies that EU law (more specifically the prohibition on all discrimination on grounds of nationality and the free movement guaranteed to citizens of the EU) precludes national rules which, in civil cases brought before the courts of a specific territorial entity in the Member State in question, grant the right to use an unofficial language only to Italian nationals who are domiciled in that territorial entity.
Par son arrêt de ce jour, la Cour répond que le droit de l’Union (plus précisément l’interdiction de toute discrimination fondée sur la nationalité et la libre circulation garantie aux citoyens de l’Union) s’oppose à une réglementation nationale qui, dans des affaires civiles portées devant les juridictions d’une entité territoriale déterminée de l’État membre en question, n’accorde le droit d’utiliser une langue non officielle qu’aux seuls ressortissants nationaux domiciliés dans cette entité territoriale.