The French authorities state that, in recent judgments, French courts have ordered the director at law or in fact to pay, in addition to the asset shortfall, additional redundancy payments calculated on the basis of a social plan drawn up by the undertaking before it was put into liquidation.
Les autorités françaises précisent que, dans des jugements récents, des tribunaux français ont condamné le dirigeant de droit ou de fait à prendre en charge, en sus de l’insuffisance d’actifs, des indemnités complémentaires de licenciement calculées sur la base d’un plan social établi par l’entreprise avant sa mise en liquidation.