This was all part of his attempt to distance himself from his predecessor, Jean Chrétien, and to convince Canadians to forget that, as a former finance minister, he was one of the most powerful individuals at the cabinet table through most of the past decade.
Ce n'était là qu'une autre tentative de prendre ses distances par rapport à son prédécesseur, Jean Chrétien, et de convaincre les Canadiens d'oublier qu'en tant qu'ancien ministre des Finances, il était l'un des membres les plus influents du Cabinet pendant la majeure partie de la dernière décennie.