We cannot, however, ignore the complex and difficult choices faced by President Karzai, who has not in fact chosen to punish the warlords, as Human Rights Watch, for example, would have him do, but rather has gone down what is perhaps the only road currently available to him, namely permitting the warlords to be elected as well.
Nous ne pouvons pas ignorer, cependant, les choix complexes et difficiles auxquels le Président Karzaï est confronté, qui en fait n’a pas choisi de punir les seigneurs de la guerre, comme le préconisait par exemple Human Rights Watch, mais a suivi le chemin qui est peut-être le seul qui lui soit actuellement accessible, à savoir autoriser les seigneurs de la guerre à être également élus.