Those who would refuse an apology cannot help but be seen as apologists for the deportation decision, and for the likes of Charles Lawrence, who shortly before he was appointed governor of Nova Scotia, wrote to London about the Acadians: “As they possess the best and largest tracts of land in this province, it cannot be settled with any effect while they remain in this situation.It would be much better.that they were away”.
On ne peut s'empêcher de considérer ceux qui refuseraient de présenter des excuses comme des défenseurs de la décision de déporter les Acadiens ainsi que des responsables comme Charles Lawrence qui, peu après avoir été nommé gouverneur de la Nouvelle-Écosse, écrivit ceci à Londres à propos des Acadiens: «Comme ils possèdent les terres les plus fertiles et les plus vastes de la province, on ne peut pas la coloniser vraiment tant qu'ils demeurent dans cette situation. [.] Il serait bien préférable qu'ils se trouvent ailleurs».