We now know that one quarter of those who experience a violent crime will develop post-traumatic stress syndrome, that 15% to 20% of victims of violent crimes suffer chronic long-term after-effects, and that in the case of homicide, the mourning process for affected people lasts far longer.
On sait maintenant que le quart des personnes qui vivent un crime violent vont développer un trouble de stress post-traumatique, que 15 à 20 p. 100 des victimes de crimes violents vont avoir des séquelles chroniques et que, dans les cas d'homicides, les personnes vont vivre souvent un deuil qui est beaucoup plus long.