He is right to raise this issue, because once we say yes definitively to Turkey and give it a date, how can we say no to Ukraine, Belarus and other countries which probably have more of their landmass within Europe than Turkey does?
Il a raison de soulever cette question car si nous disons définitivement oui à la Turquie et si nous fixons une date, comment dire non à l'Ukraine, à la Biélorussie et aux autres pays qui sont plus européens, géographiquement parlant, que la Turquie ?