The reason we are now sitting beyond the scheduled date of Parliament for the first time since 1988 and, I believe, the second time in post-war history, is that members opposite are terrified of facing the verdict of Canadians on their hidden agenda to change the meaning of marriage.
La raison pour laquelle nous sommes encore ici après la date prévue de la fin des travaux parlementaires, pour la première fois depuis 1988 et, je crois, pour la deuxième fois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, c'est que les députés d'en face sont terrifiés à l'idée que les Canadiens puissent leur faire savoir ce qu'ils pensent de leur plan secret pour modifier la signification du mariage.