For their part, most Canadians who are accepted into the medical schools across the country have grown up in urban settings; the bulk of their medical training occurs in urban settings; that training takes place largely in tertiary hospitals which are only found in urban settings; much of the training is provided by physician-educators who work in urban settings; there are (given in per capita terms) more practice opportunities in urban s
ettings; access to specialist colleagues and other complementary treatment and diagnostic resources are more plentiful in urban settings; hours of work are more likely to be ‘regular’ in urban sett
...[+++]ings and, in particular, call schedules are less onerous; and there are many more social, educational, recreational, employment and cultural opportunities for physicians and their families in urban settings.[267]Par ailleurs, la plupart des étudiants canadiens acceptés dans les facultés de médecine du pays proviennent des villes;
l’essentiel de leur formation médicale a lieu en ville; ils se forment surtout dans les hôpitaux tertiaires qu’on ne retrouve qu’en ville; la majeure partie de la formation est dispensée par des médecins enseignants qui travaillent en ville; il y a, en proportion de la population, plus d’occasions de pratiquer dans les villes; l’
accès aux collègues spécialistes et aux ressources complémentaires de traitement et
...[+++]de diagnostic est plus facile en ville; les heures de travail sont plus susceptibles d’y être « régulières » et, en particulier, les horaires d’appel sont moins onéreux; enfin, il y a plus d’emplois dans les domaines social, éducatif et récréatif, et plus d’activités culturelles pour les médecins et leur famille dans les villes[85].