Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
https://pro.wordscope.com
https://blog. wordscope .com
Extreme right-wing political party
Forward
Outside right
Outside right
Political right
Right
Right back
Right flank player
Right fullback
Right half
Right halfback
Right hand side
Right midfield player
Right outside
Right outside defensive back
Right wing
Right wing
Right wing fullback
Right wing halfback
Right winger
Right winger
Right-wing coalition
Right-wing parties
SPS
URF
Union of Right Forces
Union of Right-wing Forces

Traduction de «right-wing journalist » (Anglais → Français) :

TERMINOLOGIE
voir aussi les traductions en contexte ci-dessous
right winger [ right flank player | right wing | right outside | outside right ]

ailier droit [ ailière droite | aile droit ]


right midfield player [ right halfback | right wing halfback | right half ]

demi droit [ demie droite | demi-aile droit ]


right fullback [ right wing fullback | right outside defensive back | right back ]

défenseur droit [ défenseure droite | défenseur latéral droit | défenseure latérale droite | arrière droit | arrière droite | arrière latéral droit | arrière latérale droite | arrière d'aile droite ]


political right [ right | Right-wing parties(ECLAS) ]

droite politique [ droite ]


right winger (1) | outside right (2) | right wing (3)

ailier droit


Union of Right Forces | Union of Right-wing Forces | SPS [Abbr.] | URF [Abbr.]

Union des forces de droite | SPS [Abbr.]




extreme right-wing political party

parti politique d'extrême droite




right wing (1)(2) | forward (2)

ailier droit (1)(2) | joueur d'avant droit (2)
TRADUCTIONS EN CONTEXTE
Even a right-wing journalist like Diane Francis says it should not be allowed.

Même une journaliste de droite comme Diane Francis dit que ce type d'action n'est pas acceptable.


Unfortunately, one is the horrific degradation of the conflict, including the number of massacres by right-wing paramilitary groups, the documented evidence of increasing human rights violations, attacks against human rights workers, trade unionists, journalists, and professors.

Malheureusement, il y a d'abord la détérioration terrible du conflit, y compris les massacres causés par des groupes paramilitaires de droite, l'augmentation des cas prouvés de violation des droits de la personne, des agressions contre des défenseurs des droits de la personne, des syndicalistes, des journalistes et des professeurs.


In Poland, where it could be said that the ruling party has an overall majority in every governing body, a monopoly of power, where it controls government, the Senate, the President, the National Broadcasting Authority, the body which oversees the media, and finally has control over public broadcasting and the support of the largest electronic media corporations, journalists are being thrown out of their jobs for the simple reason that they hold conservative, right-wing views.

Il suffit de regarder le cas de la Pologne où le parti au pouvoir détient la majorité absolue dans tous les organismes directeurs et a le monopole du pouvoir. Il contrôle le gouvernement, le sénat, le président, l’autorité nationale de radiodiffusion, l’organe de surveillance des médias et, pour finir, le service public de radiodiffusion et le soutien aux principales sociétés de médias électroniques.


Uribe's government has been accused by international human rights organizations of corruption, electoral fraud, complicity in extrajudicial killings by the army, links to paramilitary and right-wing death squads and the use its security forces to spy on the supreme court of Colombia, opposition politicians, government politicians and journalists.

Les organisations internationales des droits de la personne ont accusé le gouvernement Uribe de corruption, de fraude électorale, de complicité lors d'assassinats extrajudiciaires par l'armée, de liens avec les paramilitaires et les escadrons de la mort de la droite et d'utilisation des forces de sécurité de l'État pour espionner la Cour suprême de la Colombie, les politiciens de l'opposition et du gouvernement et les journalistes.


For more results, go to https://pro.wordscope.com to translate your documents with Wordscope Pro!
The connection has been made that the Colombian government of President Uribe has been accused by international human rights organizations of corruption, electoral fraud, complicity in extrajudicial killings by the army, links to paramilitary and right-wing death squads and using its security forces to spy on the supreme court, opposition politicians and journalists.

Des organismes internationaux des droits de la personne ont accusé le gouvernement colombien du président Uribe de corruption, de fraude électorale, de complicité dans les meurtres extrajudiciaires commis par l'armée, d'entretenir des liens avec des groupes paramilitaires et des escadrons de la mort de droite, et d'utiliser les forces de sécurité du pays pour épier les juges de la Cour suprême, des politiciens de l'opposition et des journalistes.


The government of Colombian President Uribe has been accused by international rights organizations of a long list of corruption, electoral fraud, complicity in extrajudicial killings by the army, links to paramilitary and right-wing death squads and using security forces to spy on the supreme court of Colombia, the opposition parties, government politicians and journalists.

Des organisations internationales de défense des droits accusent le président de la Colombie, M. Uribe, de corruption, de fraude électorale, de complicités dans des exécutions extrajudiciaires commises par l’armée, de liens avec les paramilitaires et les escadrons de la mort d’extrême droite, et elles lui reprochent d’utiliser les forces de sécurité pour espionner la Cour suprême de son pays, les partis de l’opposition, les membres du gouvernement et des journalistes.


Right-wing politicians, journalists and so-called historians, many of whom used to be members of the former communist regime and obtained the title of doctor or engineer from the communist regime’s educational establishments, constantly attack social democratic parties as if they were some kind of communist or post-communist parties, in spite of the fact that it was in fact social democrats who, both at home and in exile, fought communism for 40 years.

Les hommes politiques de droite, les journalistes et lesdits historiens, dont un grand nombre étaient membres de l’ancien régime communiste et avaient obtenu le titre de docteur ou d’ingénieur dans les écoles du régime communiste, ne cessent d’attaquer les partis sociaux démocrates comme s’ils étaient en quelque sorte des partis communistes ou post-communistes et ce, en dépit du fait que ce sont les sociaux démocrates qui, à la fois dans leur pays et en exile, ont lutté contre le communisme pendant 40 ans.


What is the Council's assessment of the political situation in the Philippines, where more than 830 left-wing political activists, journalists, lawyers, judges, human rights activists, priests and trade unionists have been killed in extrajudicial executions since Gloria Macapagal Arroyo's government took office in 2001, a situation which has recently been strongly criticised by the UN special rapporteur Philip Alston? What is the Council's assessment of the Arroyo government's evident failure to act and reports that the Philippines army is behind these killings?

Depuis l’entrée en fonctions du gouvernement de Mme Gloria Macapagal-Arroyo en 2001, plus de 830 activistes, journalistes, avocats, juges, défenseurs des droits de l’homme, ecclésiastiques et syndicalistes de gauche ont été victimes d’exécutions extrajudiciaires (dénoncées avec vigueur il y a très peu de temps seulement par le rapporteur spécial des Nations unies, M. Philip Alston): quel jugement le Conseil porte-t-il sur cette situation politique aux Philippines et que pense-t-il, dans ce contexte, de la passivité manifeste du gouvernement Arroyo et des rapports qui voient derrière ces assassinats l’ombre de l’armée philippine?


In 2006, the killings and abductions of journalists, left-wing political activists, civil rights activists and Church representatives increased significantly throughout the entire country.

En 2006, les meurtres et les enlèvements de journalistes, de militants politiques de gauche, de défenseurs des droits civils et d’ecclésiastiques ont progressé de manière significative partout dans le pays.


What is the Council's assessment of the political situation in the Philippines, where more than 830 left-wing political activists, journalists, lawyers, judges, human rights activists, priests and trade unionists have been killed in extrajudicial executions since Gloria Macapagal Arroyo's government took office in 2001, a situation which has recently been strongly criticised by the UN special rapporteur Philip Alston? What is the Council's assessment of the Arroyo government's evident failure to act and reports that the Philippines army is behind these killings?

Depuis l'entrée en fonctions du gouvernement de M Gloria Macapagal-Arroyo en 2001, plus de 830 activistes, journalistes, avocats, juges, défenseurs des droits de l'homme, ecclésiastiques et syndicalistes de gauche ont été victimes d'exécutions extrajudiciaires (dénoncées avec vigueur il y a très peu de temps seulement par le rapporteur spécial des Nations unies, M. Philip Alston): quel jugement le Conseil porte-t-il sur cette situation politique aux Philippines et que pense-t-il, dans ce contexte, de la passivité manifeste du gouvernement Arroyo et des rapports qui voient derrière ces assassinats l'ombre de l'armée philippine?




datacenter (1): www.wordscope.be (v4.0.br)

'right-wing journalist' ->

Date index: 2024-09-12
w