It is for those people that I rise to speak today; for those 27,000 workers who, in the end, have no work, and perhaps that is because of an anti-strikebreaker law that causes employers to locate somewhere else rather than to come to Quebec.
Aujourd'hui, c'est pour eux que je me lève, pour ces 27 000 travailleurs qui finalement n'ont pas de travail, et ce, peut-être justement à cause d'une loi antibriseurs de grève qui fait que les entreprises vont s'installer ailleurs plutôt que de venir au Québec.