When we learned last week that the Minister of Foreign Affairs had gone to great lengths to bypass Treasury Board Secretariat rules by demanding that his business cards be unilingual — that is, solely in English — Canadians began to worry, and with good cause.
Quand on a appris, la semaine dernière, que le ministre des Affaires étrangères s'était donné beaucoup de mal pour contourner la réglementation du Secrétariat du Conseil du Trésor en exigeant que ses cartes d'affaires deviennent unilingues — et ce, uniquement en anglais —, plusieurs Canadiens ont commencé à s'inquiéter, et avec raison.