Instead of the finance minister taking opportunity to address those concerns in a constructive way by sitting down with the banks and negotiating terms that would protect the interests of Canadian consumers, borrowers and small business people, he slammed the door shut for short term political reasons.
Lorsque le ministre des Finances a eu la chance de réagir de façon constructive à ces préoccupations et de négocier avec les banques des conditions qui permettraient de protéger les intérêts des consommateurs canadiens, des emprunteurs et des gens de la petite entreprise, il a claqué la porte pour des raisons politiques à court terme.