It is not possible, in my view, to combat transnational crime without such cooperation, whether the crime is driven by anti-democratic forces which use terror as a political weapon, or by straightforward self-enrichment through money laundering, people trafficking or drug smuggling.
Il n’est pas possible, à mon sens, de lutter contre la criminalité transnationale sans cette coopération, que la criminalité soit engendrée par des forces antidémocratiques qui utilisent la terreur en tant qu’arme politique ou par simple enrichissement personnel, via le blanchiment d’argent, la traite des êtres humains ou le trafic de drogue.