If, for the time being, in what is becoming more and more a Quebec fractured in two, there are not more social damages stemming from abusive consumption—according to Statistics Canada, Quebeckers are those who, in Canada, have the fewest problems with alcohol—couldn't we attribute this fact, in part, to the role of social safety net implicitly played by the SAQ monopoly?
Si, pour l'heure, dans ce qui est de plus en plus un Québec cassé en deux, il n'y a pas plus de dégâts sociaux liés à la consommation abusive—selon Statistique Canada, les Québécois sont ceux qui, au Canada, éprouvent le moins de problèmes d'alcool—, ne peut-on pas attribuer en partie cet état de fait au rôle de filet de protection sociale exercé implicitement par le monopole de la SAQ?