Some people might think these gaps in competitiveness are acceptable: they might not see them as a problem, especially for Germany, whose rising exports translated into growth of 3% in 2011 and an unemployment rate of just 5.6 %.
Ces écarts de compétitivité, certains pourraient être tentés de s’en satisfaire : ce ne serait pas un problème pour tous, et notamment pas pour l’Allemagne, dont les exportations en hausse se sont traduites par une croissance de 3% en 2011 et par un taux de chômage limité à 5,6%.