They also raise the question of changes to the border, arguing that along the entire Albanian border the neighbouring populace consists of Albanians speaking the same language and having culture and blood (!). They also refer to the question of Tsamouria, which they refer to as the 'north-western province of Greece', referring to the oppression of the Albanian populace (estimated at 150 000) and maintaining that they were the victims of genocide by the Greek authorities.
Ils soulevaient aussi la question d'une modification du tracé des frontières, avançant l'argument suivant : "Sur toute la longueur des frontières de l'Albanie, les voisins des Albanais sont tous Albanais, dans ce sens qu'ils parlent la même langue et ont la même culture et le même sang" (sic !) Ils évoquaient enfin le thème bien connu de la Thesprotie, qu'ils baptisaient "province nord-occidentale de l'État grec", et soutenaient qu'une communauté albanaise (forte, selon eux, de cent cinquante mille personnes) vivait dans cette région et était en butte à la répression des autorités grecques, coupables de "génocide" à son égard.