The answer to this question is not simple, because if we forget for a moment about the horror, and the fanaticism, and the madness of murder and hate, do we have the right to close our eyes on the misery of starving children, on the violence committed with no discrimination against vulnerable peoples, on the growing gap between the rich and poor?
La réponse à cette question n'est pas simple car, au-delà de l'horreur, du fanatisme, de la folie meurtrière, de la haine, a-t-on le droit de fermer les yeux sur la misère des enfants affamés, sur la violence exercée sans discernement à l'endroit de populations vulnérables, sur le fossé qui ne cesse de se creuser entre les pauvres et les biens nantis?