The Spanish authorities stressed that, despite the situation, and owing to social considerations arising from the dramatic labour-market situation in Vigo, the regional authorities had felt obliged to keep the company in business, since GEA was, after Citroen, the second industrial employer in that area.
Les autorités espagnoles ont souligné que, en dépit de cette conjoncture, compte tenu de la situation dramatique du marché du travail à Vigo, les autorités de la communauté autonome, pour des raisons d'ordre social, s'étaient vues obligées de maintenir en activité une entreprise qui était le deuxième pourvoyeur d'emplois de la région, après Citroën.