Last year we succeeded in adopting a provision at the Canadian Bar Association, which is the association that all lawyers belong to across Canada. We succeeded in including in our professional code of ethics a provision whereby from here on in, lawyers, even in private practice—we are not talking about government institutions—are obliged to respect the official language of their client, especially if the client has rights that he can exercise before the court.
L'année dernière, nous avons pu adopter, au sein de l'Association du Barreau canadien, qui est l'association de tous les avocats et toutes les avocates qui en font partie à travers le pays, d'inscrire dans notre code de déontologie une disposition qui fait en sorte que dorénavant, les avocats, même au privé — on ne parle pas d'institutions gouvernementales —, ont l'obligation de respecter la langue officielle de leurs clients, surtout lorsque ces clients ont des droits qu'ils peuvent exercer devant les tribunaux.