However, unfortunately, we are finding — and we did a survey in 2010 with 1,400 responses from kids around Canada — that while a large number of them understood mental health and a lot of words and concepts used, half of them said they would not seek help because they did not want to feel socially rejected or misunderstood, they had a fear of being a burden, they did not want their concerns minimized and they felt they could not trust the people around them.
Cela dit, malheureusement — comme l'illustre un sondage effectué en 2010 auprès de 1 400 jeunes dans l'ensemble du Canada — même si les jeunes comprennent généralement la santé mentale et emploient des mots et termes désignant des concepts précis, la moitié d'entre eux ont affirmé qu'ils ne demanderaient pas de l'aide parce qu'ils ne voulaient pas être rejetés ou incompris par leurs amis, qu'ils ne voulaient pas être un fardeau, qu'ils ne voulaient pas que leurs soucis soient minimisés et qu'ils ne faisaient pas confiance aux gens dans leur entourage.