If politicians in our country deny or downplay the importance of organized crime and refuse to talk about it publicly because it may antagonize an ethnic community, or because it may upset the image of Canada or a province or a city as a crime free area, then organized crime has a licence to do what it pleases.
Au lieu de cela, les politiciens nient ou réduisent l'importance du crime organisé, ils refusent d'en parler publiquement par crainte de se mettre à dos une communauté ethnique, ou de ternir l'image d'un Canada, d'une province ou d'une ville où le crime n'existe pas, et permettent au crime organisé de faire ce qui lui plaît.