Certainly not the Commission, as it clearly showed in Seattle, nor the Council, which at second reading trimmed EUR 450 million off compulsory expenditure. Yet, unfortunately, nor can they rely on Parliament which, through its rapporteur, intends to challenge the existence of compulsory expenditure.
Sans doute pas à la Commission, ainsi qu’elle l’a démontré à Seattle, pas plus au Conseil, qui pratique en seconde lecture une coupe sombre de 450 millions d’euros dans les dépenses obligatoires, non plus hélas à ce Parlement qui, par la voix de son rapporteur, entend remettre en cause l’existence des dépenses obligatoires.