These threats of violence had been taken seriously enough by the B.C. supreme court that it issued a restraining order against Machell, yet Correctional Service Canada made no attempt to inform the potential victims, who turned out to be the murder victims, of Machell's disappearance.
La Cour suprême de la Colombie-Britannique avait pris ces menaces d'actes de violence suffisamment au sérieux pour émettre une injonction contre lui. Pourtant, Service correctionnel Canada n'a pas cherché à informer de sa disparition les victimes potentielles, qui sont devenues les victimes de meurtre.