It actually left 80% of Canada's surface water unprotected, as it only contained a prohibition on the removal of transboundary waters and not a prohibition on the inter-basin diversion or transfer of waters into transboundary waters, which left the door open for water pipelines to be built, like those proposed in the 1990s.
Il laissait 80 p. 100 de l'eau de surface du Canada sans protection puisque l'interdiction ne visait que le captage d'eaux transfrontalières et non les dérivations entre bassins ou les transferts vers un cours d’eau transfrontalier, ce qui laissait la porte ouverte à la construction de pipelines, comme ceux proposés dans les années 1990.