The ‘new functions for the Schengen Information System’ which the Kingdom of Spain proposes should be introduced, like the ‘fight against terrorism’ adopted for such measures, are actually being used as a pretext for both the extension of access to the SIS (and its successor, SIS II) for Europol, Eurojust and the authorities dealing with residence permits, and the erosion of citizens’ guarantees regarding the processing of their personal data and the exchange of such data with third countries.
Derrière les "nouvelles fonctions du système d'information Schengen" que le Royaume d'Espagne propose d'introduire, comme derrière la "lutte contre le terrorisme" alléguée pour justifier des mesures de ce type, se cachent en réalité l'extension de l'accès au SIS (de même qu'à son successeur, le SIS II) en faveur d'Europol, d'Eurojust et des autorités chargées des titres de séjour, mais aussi l'érosion des garanties dont jouissent les citoyens à l'égard du traitement de leurs données personnelles et de l'échange de ces données avec des pays tiers.