In terms of the 50% rule, taking prices and population growth as the benchmark for spending, I would fight like crazy to give three-quarters of everything extra to tax cuts and one-quarter to debt, knowing that I was going to lose, even if I budgeted for that.
Pour ce qui est du 50-50, si on basait nos dépenses sur les prix et la croissance démographique, je ferais tout pour y affecter trois quarts des excédents à la réduction d'impôt et un quart à la dette, en sachant que je vais perdre de l'argent même si tout est prévu dans le budget.