From Peter Kent's placing some o
f the blame for the coup on Manuel Zelaya and criticizing his
attempts to return from exile; to Canada's strong support for the recognition of the presidency of Porfirio Lobo, despite his election taking place in the context of a cou
p and dictatorship, violent repression, and a boycott by the anti-coup movement; to Canada's subsequent ongoing support for the Lobo government in spite of the continuous violence; or to Canada's contribution
...[+++]to the funding and training of Honduras' security forces including a proposed partnership with Colombia whose own security forces have an extremely problematic history of their own.Il y a d'abord eu Peter Kent, qui a rejeté une part
ie du blâme pour le coup d'État sur Manuel Zelaya et qui a critiqué ses tentatives de retour d'exil; il y a aussi le vif appui du Canada pour la reconnaissance de la présidence de Porfirio Lobo, malgré que son élection a eu lieu dans le contexte d'un coup d'État, d'une dicta
ture, de répression violente et d'un boycott par le mouvement contre le coup d'État. Le Canada continue d'ailleurs d'appuyer le gouvernement Lobo malgré la poursuite des violences, et le Canada contribue au financ
...[+++]ement et à la formation des forces de sécurité du Honduras, notamment par un projet de partenariat avec la Colombie, dont les forces de sécurité ont une histoire extrêmement problématique elles-mêmes.