One perfect example of that 10 years ago was the case of R. v. Jobidon, where the Supreme Court of Canada, with Mr. Justice Sopinka dissenting on the point, placed great emphasis on a House of Lords decision, and on the English common law, and on section 8(3), in deciding that consent to a fistfight that caused serious harm was vitiated under the common law.
La cause R. c. Jobidon, il y a 10 ans, est un parfait exemple de ce cas de figure où la Cour suprême du Canada, malgré la dissidence du juge Sopinka, a largement invoqué une décision de la Chambre des Lords, la common law anglaise et le paragraphe 8(3) du Code criminel pour statuer que le consentement à participer à un pugilat qui a occasionné de graves blessures était entaché de nullité en vertu de la common law.