All of our witnesses—labour, businesses, you name it—were saying that if in fact you want new entrants, if you want competition, if you want to allow companies, including Air Canada, to get the capital they may or may not require, then move foreign ownership from 25% to 49%.
Tous nos témoins—les syndicats, les sociétés, tout le monde—ont dit que si nous voulions de nouveaux entrants, si nous voulons de la concurrence, si nous voulons permettre aux sociétés, Air Canada compris, de trouver le capital dont elles ont besoin, il faut porter la limite de propriété étrangère de 25 à 49 p. 100.