It strikes me as positively perverse for this report to welcome a reduction in the number of journeys on official business that our officials take from Luxembourg to Brussels and back, and for it to be boasted that, in 2000, EUR 2.8 million was saved in this way, ignoring the fact that these figures conceal enforced transfers of lower and middle-stream officials from Luxembourg to Brussels, which their families find traumatic and socially and financially intolerable.
Je trouve tout à fait pervers que l’on salue, dans ce rapport, le fait que le nombre de missions des fonctionnaires de Luxembourg à Bruxelles et inversement ait diminué et que l’on se targue d’avoir économisé, de cette façon, 2,8 millions d’euros en l’an 2000, sans parler du fait que se cachent, sous ces chiffres, des transferts forcés de fonctionnaires de petites et moyennes catégories de Luxembourg vers Bruxelles, qui sont douloureux pour les familles et difficiles à supporter, aussi bien sur le plan financier que social.