According to Jean Dion, columnist for Le Devoir, ``the savings that could be made by slashing members' benefits are hard to calculate'' (1100) Following the last election, the pensions to be paid to defeated members were estimated at $109 million over 20 years, or a quarter of 1 per cent of the deficit for 1992-93 alone.
Selon Jean Dion, chroniqueur au journal Le Devoir, «les économies qui pourraient être faites en sabrant les avantages des députés sont difficilement calculables» (1100) Au lendemain des élections, une estimation des pensions à verser aux députés défaits faisait état d'un montant de 109 millions de dollars sur 20 ans, soit un quart de 1 p. 100 du déficit enregistré au cours du seul exercice 1992-1993.