There has been talk of market liberalisation, of privatisation and, more recently, of sustainable development and environmental damage, and one can see the clear contradiction when we talk of liberalisation on the one hand, and sustainable development on the other: contradictions which are revealed by a Commission and a Europe which, for too long, have been associated with the lobby whose only concern may well not be to create the Europe we were talking about but increasingly a Europe for businessmen, which I do not want and, nor, I believe, do many of us.
Nous avons entendu parler de libéralisation des marchés, de privatisations et, en même temps, de développement durable et de dégradation de l’environnement, et la contradiction criante se remarque quand on parle d’une part de libéralisation et de l’autre de développement durable : des contradictions qui sont mises en évidence par une Commission et une Europe trop liées aux lobbies, dont le seul intérêt n’est probablement pas de faire l’Europe dont on parlait, mais de se rapprocher toujours plus d’une Europe de marchands, que je n’aime pas et que je crois que peu d’entre nous aiment.