In the General Motors case, the court was very specific, because the Quebec Attorney General had argued that, while Quebec accepted that Parliament had the authority to make legislation in respect of competition under international-interprovincial trade, the first branch, nevertheless, Quebec wanted to exclude intraprovincial or combines legislation.
Dans l'arrêt General Motors, la cour a été très précise car le procureur général du Québec disait que, bien que le Québec ait accepté que le législateur fédéral possède le pouvoir de légiférer en matière de concurrence dans le commerce international-interprovincial, le premier volet, le Québec voulait exclure la législation interprovinciale ou sur les coalitions.