What is needed, then, is a Europe that rejects the Bolkestein directive – that ominous directive on working hours – and, from the left, is able to break down the cage of monetarist free trade and to revitalise – not reduce – quality investments, rights, development, work and environment: in other words, one that is able to turn itself into a social Europe, the only possible kind.
Par conséquent, ce qu’il faut, c’est une Europe qui rejette la directive Bolkestein - cette inquiétante directive sur le temps de travail - et qui, depuis la gauche, soit capable de briser cette cage du libre-échange monétariste et de relancer - et non réduire - des investissements de qualité, les droits, le développement, l’emploi et l’environnement: en d’autres termes, une Europe capable de devenir une Europe sociale, la seule Europe possible.