Conformément aux articles 30 et 129 de la Constitution, le législateur ne peut dès lors interdire aucune des langues nationales et c'est donc la liberté linguistique qui prévaut. La proposition rappelle toutefois que d'après la jurisprudence du Conseil d'État et la doctrine, la liberté linguistique garantie par la Constitution s'applique uniquement aux langues parlées en Belgique, c'est-à-dire au néerlandais, au français et à l'allemand.
Zoals in het voorstel echter werd aangehaald is de Grondwettelijk gewaarborgde taalvrijheid volgens de rechtspraak van de Raad van State en volgens de rechtsleer enkel van toepassing op de in België gesproken talen, met andere woorden op het Nederlands, het Frans en het Duits.