Si l'origine du piratage n'a toujours pas pu être déterminée, la SNCB a cependant pu identifier de quel type d'attaque elle a été victime: un DDOS. Il s'agit d'une attaque par déni de service, c'est-à-dire d'un envoi massif de requêtes - via de multiples machines infectées dont les pirates ont pris le contrôle - à un serveur informatique pour le faire tomber.
De hackers konden vooralsnog niet worden opgespoord, maar de NMBS weet wel dat het een DDoS-aanval betrof, een distributed denial-of-service-attack.