Dans sa résolution du 10 mars 2005, le
Parlement européen avait pourtant mis l'accent sur ces deux points (restructuration agricole et emploi industriel), en émettant
le souhait " qu'une partie du fonds (...) puisse permettre la rémunération des agriculteurs, en compensation de la perte de leurs droits de livraison et dans la perspective d'une réorientation de leur activité; exige, dans le même temps, l'adoption, en matière de protection sociale, de mesures en faveur des travailleurs affectés par la fermeture d'e
...[+++]ntreprises sucrières".