Concernant les suppléments d'honoraires, le ministre déclare à
la Chambre qu'il ne souhaite pas en parler, parce que le Centre fédéral d'expertise
des soins de santé étudie la question, mais quand il est question du lien entre l'accréditation et le comportement prescripteur, il déclare qu'il sou
haite qu'il en soit déjà question dans la loi, alors qu'une Commission nationale médico-mutualiste est en train d'élaborer des propositions
...[+++] en vue de rationaliser le comportement prescripteur.