This is, of course, the case when it notes that the ECB’s economic projections, like those of the International Monetary Fund and other international institutions, failed to predict the severity of the downturn in 2008. It also does so when it ‘notes that the ECB’s interest rate cuts were less radical than those made by other central banks, including the US Federal Reserve and the Bank of England in the UK, and compared with what many economic observers expected at the time’.
C’est évidemment le cas lorsqu’il constate que les projections économiques de la BCE, tout comme celles du FMI et d’autres institutions internationales, n’ont pas prévu la gravité de la récession en 2008, mais aussi lorsqu’il constate que, par rapport aux prévisions émises à l’époque par de nombreux observateurs économiques, les baisses des taux d’intérêt opérées par la BCE ont été moins radicales que celles opérées par d’autres banques centrales, telles que la Réserve fédérale américaine et la Banque d’Angleterre au Royaume-Uni.