In every other instance, mental health practitioners were portrayed in one or more of the following ways: neurotic, unable to maintain professional boundaries, drug- or alcohol-addicted, rigid, controlling, ineffectual, mentally ill themselves, comically inept, uncaring, self-absorbed, having ulterior motives, easily tricked and manipulated, foolish, and idiotic.[117] Such portrayals tend to convey the idea that helping others is an unworthy vocation requiring little skill or expertise.
Dans tous les autres cas, les professionnels de la santé mentale étaient présentés de l’une ou plusieurs des manières suivantes : personne névrotique, incapable de respecter les limites professionnelles, abusant de drogue ou d’alcool, rigide, contrôlante, inefficace, souffrant elle-même de trouble mental, ridicule, froide, égoïste, ayant des objectifs cachés, facile à tromper et à manipuler, stupide et idiote.[117] De telles images ont tendance à donner l’idée qu’aider les autres est une vocation méprisable, exigeant peu de compétence ou d’expertise.