Even if we exclude non-recurring factors, revenues only went up by 1.2 per cent between 1992-93 and 1993-94, while the GDP grew by 3.3 per cent in nominal terms. With a wave of the finance minister's magic wand, revenues, excluding increases due to a broader tax base, will suddenly jump by 4.6 per cent with a GDP nominal growth of 3.9 per cent.
Qu'on en juge: même en écartant les facteurs ponctuels, les recettes budgétaires n'auront progressé que de 1,2 p. 100, entre 1992-1993 et 1993-1994, alors que le PIB nominal connaissait, lui, une croissance de 3,3 p. 100. Soudain, grâce à la baguette magique du ministre des Finances, les recettes budgétaires, exclusion faite de l'élargissement de l'assiette fiscale, vont s'envoler de 4,6 p. 100 pour une progression nominale du PIB de 3,9 p. 100. Tout d'un coup, comme ça!