That said in passing, these deficits have nothing to do with new investment in research, development and innovation, as the Lisbon Strategy suggests, but are basically due to a EUR 14 billion tax reduction, targeted at the most well-off people in France, a reduction that prompts most economists to wonder about its supposed positive knock-on effect on EU growth.
Soit dit en passant, ces déficits n’ont rien à voir avec un investissement nouveau en faveur de la recherche, du développement et de l’innovation, comme le suggère la stratégie de Lisbonne, mais qui proviennent essentiellement d’une réduction d’impôts de quatorze milliards d’euros, ciblée sur les populations les plus aisées en France, laquelle pousse la plupart des économistes à s’interroger sur ses prétendues répercussions positives sur la croissance de l’Union européenne.