It seemed that every politician in Ontario at that time was jumping up with plans for zero tolerance to take all the discretion away from the school principals, to the point where I was at meetings where grade twos and threes were referred to as repeat offenders.
On aurait dit, à cette époque, que tous les politiciens de l'Ontario surgissaient avec des plans de tolérance zéro pour enlever aux directeurs d'école leur pouvoir discrétionnaire, à un point tel que j'ai assisté à des réunions où des élèves de deuxième et de troisième année étaient considérés comme des récidivistes.