Moreover, it is hard to understand how a Conservative government that sometimes, although less and less, boasts of a federalism of openness, could move straight ahead with a proposal that goes against not only the Canadian constitution—once again, it is clearly stated in the provisions of the Constitution of 1867—but also against public opinion in Quebec.
Aussi, on s'explique mal que le gouvernement conservateur qui se targue parfois, mais de moins en moins, il faut bien le reconnaître, d'un fédéralisme d'ouverture, aille directement de l'avant avec un projet qui va à l'encontre non seulement de la Constitution canadienne — encore une fois, c'est très clairement inscrit dans les articles de cette Constitution de 1867 — mais aussi contre le consensus québécois.