The president of La terre de chez nous told the agricultural industry that it should expect the worst from the finance minister's budget, adding that it was a real Pandora's box, that new harmful effects were discovered every day, and that it would probably never end, unless, of course, Quebec decided to assume full authority.
Le président général de La terre de chez nous disait au monde agricole qu'il devait s'attendre au pire avec le Budget Martin, que le Budget Martin était une vraie boîte de Pandore, c'est-à-dire qu'on découvrait chaque jour ses effets néfastes et qu'on ne finirait probablement pas d'en voir le bout, à moins, pour le Québec bien sûr, de prendre la décision d'assumer pleinement ses responsabilités.