But of course, there were no Irish interest rates; there was only the European Central Bank, which, by giving the core members what they needed, was giving the peripheral members a double dose of what they did not need, namely, artificially cheap money.
Mais bien entendu, il n’y avait pas de taux d’intérêt irlandais; il n’y avait que la Banque centrale européenne, qui, en accordant aux membres principaux ce dont ils avaient besoin, donnait aux membres périphériques une double dose de ce dont ils n’avaient nullement besoin, à savoir, une monnaie artificiellement bon marché.