It also advocates that the burden of proof of the fact that something is not interoperable – even on safety grounds – should be shifted onto Member States: in other words the initial assumption is that, once certified, everything can go everywhere, unless someone can give me a serious reason why that should not be the case.
Il préconise également que la charge de la preuve du fait que quelque chose ne soit pas interopérable – même pour des raisons de sécurité – incombe aux États membres. En d'autres termes, la proposition initiale est que, une fois certifié, n'importe quoi puisse aller n'importe où, à moins que quelqu'un m'explique valablement pourquoi dans tel cas ce n'est pas possible.