At a time when Europe – and each of its 25 Member States – is just as likely as any other part of the world to be a victim of terrorism, it is important that in placing emphasis on the area of freedom, security and justice we do not separate the requirement to treat immigrants humanely from the overriding need to ensure that the Union’s borders are secure. The more secure Europe is, the more humane it will be, although one must not confuse security, which is a good thing, with securitarianism, which is a bad thing.
À une époque où l’Europe, tout comme chacun de ses 25 États membres, est aussi exposée que n’importe quel autre endroit du globe à une frappe terroriste, il importe que, en mettant l’accent sur l’Espace de liberté, de sécurité et de justice, nous ne séparions pas l’impératif d’accorder un traitement humain aux immigrants et la nécessité prééminente d’assurer la sécurité des frontières de l’Union. Plus l’Europe sera sûre, plus elle sera humaine. Il convient cependant de ne pas confondre la sécurité, qui est une bonne chose, et le sécuritarisme, qui en est une mauvaise.